Tous les articles correspondant à #entreprises

L’hémorragie continue avec une croissance à deux chiffres des défaillances d’entreprises enregistrées au Maroc durant l’année écoulée. Toutefois, le royaume s’en sort mieux que le reste du monde, selon le dernier rapport sur les faillites publié par Dun & Bradstreet.

Forbes vient de publier la 23e édition de son classement Forbes Global 2000 qui classe les plus grandes entreprises cotées au monde en se basant sur quatre indicateurs: chiffre d’affaires, bénéfices, actifs et valeur de marché. Sur 1998 entreprises retenues, seules 17 sont africaines et opérant essentiellement dans le secteur bancaire et les assurances.

Ils sont censés incarner le bras armé de l’État dans des secteurs clés. Ils portent des stratégies nationales, régulent des marchés vitaux, déploient des politiques publiques d’envergure. Et pourtant, ils sont à l’arrêt, ou presque. Leur point commun? L’absence de Conseil d’administration. Pourquoi? Parce que Aziz Akhannouch, chef du gouvernement, refuse de faire ce que la loi lui impose: présider ces instances. Résultat, des plans d’action en suspens, des budgets non validés, et un appareil d’État pris en otage par un exécutif aux abonnés absents.

Au cours de la dernière décennie, les investissements directs des entreprises marocaines à l’étranger ont quasi quadruplé, passant de 7,36 à 27 milliards de dirhams. Ils ont profité à différents pays, notamment la France, la Côte d’Ivoire et les Émirats arabes unis et à divers secteurs, essentiellement l’industrie, les télécommunications et le secteur bancaire.

Dans un contexte mondial marqué par l’instabilité économique et géopolitique, les Journées Restructuring de Fès, prévues les 8 et 9 mai, s’imposent comme un carrefour incontournable de réflexion et de formation sur les mécanismes de sauvetage des entreprises. Porté par l’École de droit de la Sorbonne et l’Université Euromed de Fès, ce rendez-vous réunit chaque année des experts du droit, des universitaires et des dirigeants pour explorer les défis et solutions liés à la restructuration et à l’insolvabilité.

Pour financer leurs grands projets d’infrastructure prévus dans le cadre de l’organisation du Mondial, les établissements et entreprises publics (EEP) devront recourir, entre autres, au secteur bancaire. Un tel recours rendra-t-il difficile l’accès du secteur privé au financement bancaire? L’économiste Zakaria Firano écarte ce risque. Explications.

Le Secrétaire d’État chargé de l’emploi, Hicham Sabiry a incité vendredi les entreprises privées à s’adapter à la législation du travail, indiquant que son département prépare un programme en faveur de ces entités pour atteindre le but requis.

Saïd Guemra, expert en énergie, alerte sur le retard du Maroc en matière d’efficacité énergétique, pourtant censée être le pilier central de la transition énergétique. Il déplore l’absence de bilan vérifiable et appelle à une gestion en temps réel des consommations via des outils modernes. Cet article est une revue de presse tirée de Finances News.

Après des mois d’insalubrité critique, Yaoundé retrouve progressivement son éclat grâce à la reprise des activités d’Hysacam, suite au renouvellement de son contrat avec la mairie. Un programme d’investissement de 5 milliards de FCFA, réalisé avec le concours d’Afriland First Bank, prévoit l’acquisition de 80 camions.