Tous les articles correspondant à #circulation routière

Lancé pour désengorger l’un des points noirs de la circulation à Abidjan, l’échangeur du carrefour Faya, dans la commune de Cocody, s’inscrit dans le programme de modernisation des infrastructures routières. Les usagers espèrent en finir avec les embouteillages.

À Conakry, la voirie urbaine est en détresse. Faute de politique claire d’entretien et de suivi des chantiers, de nombreuses routes restent défoncées ou abandonnées après des débuts de réhabilitation. Résultat: automobilistes, motards et piétons doivent faire preuve d’ingéniosité, si ce n’est de témérité, pour éviter crevaisons, accidents ou retards.

Le mécontentement grandit parmi les chauffeurs de petits taxis à Agadir. Ceux-ci dénoncent une série de dysfonctionnements qu’ils attribuent à la gestion du secteur par le conseil communal, notamment la suppression de plusieurs stations de taxis.

Au cœur de la métamorphose de Dakar, la Voie de Dégagement Nord, est aussi indispensable que controversée. Créée dans les années 1990, élargie sous Abdoulaye Wade, cette voie structure désormais les flux économiques et sociaux de la région dakaroise. Mais ce ruban asphalté n’est pas sans dangers.

Présenté comme un moyen révolutionnaire pour décongestionner la circulation, l’échangeur dit «U-Turn» à Tanger vient de connaître son premier incident majeur, remettant en cause la qualité des travaux qui y ont été effectués. une revue de presse tirée d’Al Akhbar.

À Mohammedia, le boulevard de la Résistance est en pleine métamorphose. Doté d’un budget de 300 millions de dirhams, le chantier de son réaménagement combine réfection de la voirie, modernisation de l’éclairage et mise en place d’un dispositif anti-inondations. Alors que la première phase des travaux touche à sa fin, les équipes s’activent pour respecter un calendrier serré, avec des échéances clés d’ici mai.

Assurant la gestion du trafic dans les artères casablancaises, le Poste central de commandement et de coordination de la préfecture de police ne connaît pas de temps mort. Équipé d’un système de surveillance couvrant les 210 caméras réparties sur les axes stratégiques de la ville, ce centre pilote la sécurité et la fluidité routières dans la métropole.

Le parking souterrain du parc de la Ligue arabe, en plein cœur de Casablanca, sera livré d’ici fin mars ou début avril. Avec une capacité de 325 places, cette infrastructure cherche à améliorer le stationnement dans une zone particulièrement fréquentée. Un projet qui s’inscrit dans un plan plus large de développement des parkings souterrains dans la capitale économique.

Les autorités ont, en vain, essayé d’interdire le stationnement et la circulation des camions, surtout les poids-lourds, dans les artères les plus fréquentées et les quartiers populaires. Ils foncent maintenant sur des maisons, avec leurs habitants à l’intérieur. Une revue de presse tirée du quotidien Al Akhbar.