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Les prix à la pompe au Maroc reflètent-ils le coût réel du baril sur le marché international? Les opérateurs ont-ils répercuté la totalité de la baisse observée ces dernières semaines sur le marché international? Éléments de réponse avec Ahmed Rahhou, président du Conseil de la concurrence qui annonce la sortie imminente du tout premier rapport mesurant les marges nettes des distributeurs de carburants au Maroc.

Alors que les cours du pétrole continuent de plonger, tombant à des niveaux inédits depuis quatre ans, les consommateurs marocains ne ressentent pas encore l’effet de la détente observée sur le marché international. Ce vendredi 16 mai, les prix du gasoil et de l’essence affichent une baisse minime de 10 centimes.

Face à la perspective d’une augmentation de la production de l’Opep+ et un recul de la demande chinoise, les cours du pétrole sont orientés à la baisse.

Alors que les cours du pétrole ont entamé une forte baisse depuis le 3 avril, la baisse des prix des carburants vient à peine de se faire ressentir au Maroc. Les prix du gasoil et de l’essence affichent une baisse minime de 20 centimes.

Les Marocains continuent de payer jusqu’à 2 dirhams de trop par litre de gasoil et d’essence sans plomb, malgré une légère baisse des prix. Le Syndicat national du pétrole et du gaz dénonce une libéralisation mal gérée des prix, entraînant des abus et des surcoûts. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien L’Économiste.

Le prix des carburants, notamment le super et le gasoil, a baissé de 20 et 15 Fcfa. Cependant, cette diminution jugée trop faible ne se fait ressentir ni sur les dépenses quotidiennes des usagers ni sur les recettes des transporteurs.

Une légère baisse du prix des carburants a été actée ce mardi 1er avril. La gasoil a vu son prix au litre reculer de 16 centimes dans les stations-service, tandis que le prix de l’essence est resté inchangé.

Bonne nouvelle pour les automobilistes, le prix des carburants à la pompe a reculé ce samedi 15 mars chez la plupart des distributeurs, tant pour le gasoil que pour l’essence. Les détails.

Poussés par une prévision de production mondiale en 2025 revue à la baisse, des pressions croissantes sur les deux producteurs que sont l’Iran et le Venezuela et par des indicateurs encourageants sur la demande, les cours du pétrole sont repartis à la hausse.